Le Bureau élargi du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel et de la Communication (CSAC) n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour condamner avec la dernière énergie « l’agression barbare, ignoble et indescriptible », dont a été victime le président de cette Institution d’appui à la démocratie, Christian Bosembe, à Paris en France. Le CSAC a engagé des poursuites judiciaires à l’endroit des auteurs de cette barbarie. Par ailleurs, cette institution citoyenne demande aux autorités françaises d’assurer plus de protection aux hauts responsables de la République en mission officielle au pays de Macron.