« Nous n’avons jamais considéré que les fonctions ou les activités politiques étaient une profession. C’est plutôt la réponse à un appel, la réponse qui est liée à un sacerdoce. Et cela correspond à un mandat. Nous avons exercé le mandat que nous avons eu. Et il fallait pour nous le temps d’évaluer et de réfléchir sur notre implication, sur l’avancement du Congo. Nous avons continué à œuvrer. Nous avons été en contact avec certaines catégories de la population, pour leur apporter non seulement notre expertise, mais également notre accompagnement et notre soutien. Le fait de nous être «retiré» ou de n’avoir pas donné de nouvelles, pour nous correspondait effectivement à une posture ».