« Un ouvrage qui doit apporter la sérénité, un amour sincère et véritable, de surcroît un miroir pour changer les esprits dans un monde où les gens s’aiment mais se blessent souvent ». Tels sont les mots de Florence Meta, poétesse pour guérir les maux de l’amour dans ce monde de plus en plus épouvantable. Ce, à l’occasion de la présentation de son tout premier ouvrage intitulé » Flots de douceur », hier mercredi 08 février au Centre Wallonie Bruxelles dans la commune de la Gombe.
« Il n’y a que le premier pas qui coûte » dit-on. C’est un début réussi voire tonitruant pour Florence Meta dans le microcosme de la littérature congolaise.
Cet ouvrage de 189 pages et subdivisé en 5 chapitres, « Flots de douceur » a régalé, reçu un torrent d’applaudissements de la part du public : poètes, écrivains et autres amoureux de la culture.
» C’est une partie d’amour que je découvre et éprouve lorsque je vois les gens s’aimer et sans pourtant se considérer comme il se doit, parce que quand on aime on doit considérer l’autre. J’ai vu aussi des gens s’aimer mais en même temps se blesser en revanche quand on aime, on ne peut pas blesser l’autre. Alors, Flots de douceur, ce sont des flots qui apportent la sérénité. Ce livre prône l’amour sincère et véritable. C’est un miroir pour changer les esprits« , s’est exprimée l’auteure.
UNE PERCEPTION POSITIVE DE L’ AMOUR, DES ÉMOTIONS
Partager cette perception positive de l’amour, des émotions, expériences et des moments forts.
» Je n’ai pas fait les études de lettres. C’est la poésie, les lettres qui m’ont choisie.C’est une passion enfouie en moi et aussi je me suis fait bien entourer. Merci à vous tous pour votre présence.
C’est un grand jour, je suis très émue. Ça me touche au fond du cœur, le fait de voir ce monde venir. Ce livre, c’est mon reflet, mon image. J’ai voulu partager cette perception positive de l’amour souvent mal vu chez les autres. Tout est réel. Ce sont mes émotions, mes expériences, des moments forts. La douceur peut s’adapter à toutes formes d’amour. Outre l’amour, le racisme, la violence a été aussi de mise dans le livre« .
Le poète, Eugène Kandolo qui a préfacé ce livre de 80 poèmes évoque un défi relevé dans ce cocktail poétique et un défi relevé.
» Ce tout premier recueil de Florence Meta, n’est pas une chronologie mais vous vous rendez bien compte que malgré l’impression d’avoir des sujets disparates, chacun de ces 80 poèmes raconte un complément de l’histoire qui se tient et retient l’attention. La vie est ici sublimée et ses détours sont aussi relevés.
L’ amour dans toutes ses facettes se raconte et se conte au gré des vers enivrants. C’est toute une responsabilité que d’oser d’accepter le défi de préfacer un tel chef d’oeuvre ! Oui je dis bien défi ! Ressortir une pensée singulière dans ce cocktail poétique que présente l’auteure n’est pas une ose facile« .
Florence Meta est une jeune passionnée de la poésie et originaire de l’ex-Kasai-Oriental. Elle est étudiante à l’Institut supérieur du commerce ( ISC), poétesse et CEO de la structure cérépoesique Events. Gloire BATOMENE