« Les préparatifs des élections de 2023 en Rd Congo avancent bien. C’est un processus maîtrisé, organisé et structuré », a déclaré André Flahaut, ministre d’Etat et Président honoraire du Parlement belge, au sortir des échanges le vendredi 14 octobre, avec Denis Kadima, président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI)
Aussi, l’’hôte de la CENI, en mission parlementaire à Kinshasa, c’est la deuxième visite en quelques mois, a-t-il félicité le bureau de la Centrale électorale pour sa détermination à mener à bon port le processus électoral en cours en République démocratique du Congo.
«L’entretien avec le Président et les deux Vice-présidents de la CENI fait partie d’une démarche que j’ai commencée il y a quelques mois ici dans la mesure où les échéances électorales approchent et que venir en mission au niveau parlementaire sans s’informer de l’état d’avancement des préparatifs des élections à tous les étages à la fin de l’année 2023, serait un travail incomplet. Comme il y a eu une première rencontre et les explications ont été données et pour témoigner de façon correcte, il est important de dire que le verre est plus à moitié plein qu’à moitié vide comme certains médias le répandent», a soutenu le ministre d’État belge.
Reconnaissant ce qui se fait de mieux dans la conduite de ce processus électoral, André Flahaut a réitéré son invitation au numéro 1 de la Centrale électorale en Belgique pour communiquer de vive voix.
«Donc ce message-là, je vais aussi le porter en Belgique où souvent il y a des critiques. C’est évidemment sur place qu’on peut constater que les choses avancent de façon coordonnée et structurée et avec beaucoup de crédibilité. C’est pour cette raison que j’ai réitéré l’invitation au Président de la CENI et son bureau de pouvoir venir aussi en Belgique pour expliquer tout ce qui a été porté à ma connaissance. C’est très important pour le Congo et bien plus pour le continent africain dans son ensemble d’avoir un processus électoral maîtrisé, organisé et structuré. Quand c’est bien, il faut le dire pas uniquement quand les choses vont mal et communiquer lorsque cela évolue dans le sens souhaité», a-t-il conclu. CELLCOMM/CENI/FDA