Une vingtaine de jeunes journalistes capacités sur la bonne gouvernance et l’élection

Une vingtaine de jeunes journalistes ont été capacités sur la bonne gouvernance et l’élection. Une formation a été organisée dernièrement à leur intention par l’Institut républicain international (IRI) avec l’appui de l’Agence des États-Unis pour le développement international (Usaid) au centre culturel de Lemba à Kinshasa.

D’après l’ambassadeur de l’Iri,  Franson Likinda, cette formation a eu pour objectif principal de donner les connaissances nécessaires  aux journalistes afin de leur permettre de s’approprier les questions de la bonne gouvernance et des élections.

Pour les questions de la bonne gouvernance et électorale, dit-il, les journalistes sont des canaux redoutables du grand public car, à travers eux, la population découvre les candidats et de comprendre leurs visions.

« Étant influenceurs de la population, nous avons jugé bon de parler avec les professionnels des médias sur ces questions, qui, à leur tour, sensibilisent, informent et conscientisent le public aux rôles que jouent les élus du peuple et leur mission au sein de la société« , a expliqué Franson Likinda.

L’ambassadeur de l’Iri a clos son intervention en invitant les jeunes professionnels des médias à bien jouer leur rôle en respectant l’éthique et la déontologie dans l’exercice de leur métier.

Parlant du processus électoral et droits électoraux, l’ambassadrice de l’Iri, Ketsia  Feza a précisé que les personnes vivant avec handicap et la femme ne sont pas écartées du processus électoral et leurs droits sont garantis par les lois nationales et internationales, notamment celui de voter, de postuler, de se présenter comme témoin et autres.

Ketsia Feza a saisi l’occasion pour plaider auprès des autorités concernées pour l’élaboration d’une bonne politique à l’intention des personnes vivant avec handicap et des femmes afin de leur faciliter de remplir comme il se doit leur devoir en tant que citoyen.

« Cette catégorie de personnes connait plusieurs difficultés les empêchant ainsi de remplir  leurs droits, notamment les moyens financiers, le niveau d’éducation, les stéréotypes liés à la culture et à la mentalité« , a-t-elle plaidé. Tricya MUSANSI

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