Les laboratoires ukrainiens travaillent à la mise au point de l’armement biologique

Les Forces armées de la Fédération de Russie continuent l’opération militaire spéciale en Ukraine qui se déroule selon le plan préétabli. Il est à souligner que cette opération revêt d’un caractère contraignant. En effet, elle découle de huit ans d’agression ininterrompue contre le Donbass de la part du régime de Kiev, ainsi que de son refus obstiné d’assurer le respect des droits de l’homme et de mettre fin à la discrimination de la population russophone du pays. Tout cela avait lieu dans le contexte de dégradation de la sécurité mondiale, provoquée par les actes de l’OTAN et des États-Unis d’Amérique en premier lieu. Le point de décision a été franchi lorsque l’intention de l’Ukraine de se doter d’arme nucléaire a été officiellement annoncée par certains de ses représentants.

L’objectif de l’opération militaire spéciale est de protéger la population des Républiques Populaires de Donetsk et de Lougansk, d’assurer la démilitarisation et la dénazification de l’Ukraine, de se prémunir contre la menace militaire que présenterait pour la Russie le territoire ukrainien  » colonisé  » et bourré d’armes par l’OTAN. L’objectif de la Russie n’est en aucun cas l’occupation ou le démantèlement de l’État ukrainien, ni le renversement du pouvoir en place. Il importe de noter que cette opération ne vise pas la population civile.

Ainsi, l’objectif ultime est de ramener l’Ukraine aux racines de sa souveraineté inscrites dans sa Déclaration de l’indépendance qui avait proclamé le statut neutre de cet État et la consolidation de la coopération avec la Russie. Il est préférable d’y parvenir par la voie de négociation et nous espérons que les autorités ukrainiennes sont de même avis.

Sur les plans des Forces armés ukrainiennes

 Lors de l’opération militaire spéciale, l’armée russe a pu récupérer les documents secrets du commandement de la Garde Nationale de l’Ukraine. Ces papiers confirment que le régime de Kiev préparait une offensive d’envergure qui devait commencer en mars 2022 dans le Donbass.

Il s’agit notamment de l’ordre portant sur « l’entraînement du groupe tactique de bataillons de la 4-ème brigade opérationnelle en vue de missions spéciales de combat dans le cadre de l’opération des forces intégrées au sein de la brigade des Forces armées de l’Ukraine« , destiné aux chefs des Directions territoriales de la Garde Nationale de l’Ukraine, notamment celles du Nord, de Kiev, d’Odessa, du Sud et de l’Ouest.

Cet ordre porté à la connaissance des commandants de la Garde Nationale de l’Ukraine n’est rien d’autre qu’un plan de formation et d’entraînement d’un groupe de combat, en vue de mener une  » opération des forces intégrées  » dans le Donbass.

Une opération punitive d’envergure contre la population du Donbass aurait pu faire plusieurs centaines de milliers de victimes civiles parmi notamment les citoyens russes qui habitent cette région. L’opération militaire spéciale lancée par la partie russe le 24 février dernier a donc contrecarré l’offensive des forces ukrainiennes contre les Républiques Populaires de Donetsk et de Lougansk.

Au sujet des laboratoires biologiques en Ukraine

L’opération militaire spéciale des Forces russes en Ukraine a mis en lumière les éléments qui témoignent de la liquidation urgente des programmes militaires de recherches biologiques réalisés par Kiev et financés par Washington, et plus précisément par Pentagone. Il va de soi qu’il n’en est pas question de recherches scientifiques menées à des fins pacifiques pour le bien et le progrès de toute l’humanité.

Les chercheurs des laboratoires biologiques ukrainiens ont transmis plusieurs documents faisant acte de la destruction urgente, à partir du 24 février dernier, des grandes quantités d’agents pathogènes hautement dangereux, tels que la peste, l’anthrax, le choléra et d’autres maladies mortelles. Il en existe des preuves matérielles qui peuvent être consultées sur le site du Ministère de la Défense de la Fédération de Russie. Ainsi, il est devenu évident que les laboratoires biologiques ukrainiens travaillaient, et ceci à proximité immédiate des frontières russes, à la mise au point d’articles liés à l’armement biologique. La destruction urgente d’agents pathogènes avait pour objectif d’empêcher que les preuves de violation de l’article 1 de la Convention internationale sur l’interdiction des armes biologiques ou à toxines (CABT) par l’Ukraine comme par les États-Unis puissent être dévoilées.

Nous estimons que l’administration du président des États-Unis et le Ministère de la Défense des États-Unis doivent rendre compte à la communauté internationale de tous les programmes qui étaient réalisés en Ukraine, ceci dans les meilleurs délais.

Sur la protection par la Fédération de Russie des sites nucléaires en Ukraine

Lors de l’opération militaire spéciale en Ukraine, les Forces armées de la Fédération de Russie ont repris sous leur contrôle les centrales nucléaires de Tchernobyl et de Zaporojié, ainsi que le territoire alentour.

Cette mesure a été prise que pour empêcher les éventuelles provocations nucléaires de la part de nationalistes ukrainiens, d’autres formations terroristes ou de mercenaires étrangers (dont nous parlerons de manière détaillée dans nos prochains dossiers). Vu la situation dans le pays, le risque de telles provocations est tout à fait réel.

Les deux centrales nucléaires sont sous contrôle conjoint des militaires russes et des spécialistes ukrainiens. Le taux de radioactivité reste normal sur les deux sites, l’équipement technique fonctionne comme prévu. A ce jour, aucun risque pour la population civile n’est à constater.

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