Coopération : Voici le modus vivendi environnemental trouvé entre le Ministre des Finances Nicolas Kazadi et l’Ambassadrice de la Grande-Bretagne, Emily Maltman*

La Grande-Bretagne est plus que déterminée à financer la République Démocratique du Congo dans le secteur de l’environnement pour la protection de la nature, au regard de l’importance que revêt ce secteur dont la préservation des conditions naturelles et culturelles s’avère impérieuse. Tel était le message de Emily Maltman, ambassadrice de la Grande-Bretagne reçue en audience le vendredi 4 juin 2021 par le Ministre des Finances, Nicolas Kazadi. 

Pour la diplomate britannique dont le facies-basal exprimait une grande gaieté perceptible au sortir de cette entrevue de près de deux heures avec l’argentier national, la RDC doit s’inscrire au fonds vert pour des raisons climatiques avec un focus sur l’écosystème. Ceci va impérativement conduire le pays de Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à basculer vers les énergies renouvelables tout en bénéficiant d’un appui budgétaire conséquent de la Banque Mondiale et du Fonds monétaire international (FMI).

«Nous travaillons simultanément avec le gouvernement, le Président de la République et tous les partenaires intéressés par cette question pour aider la RDC à mettre en place une approche limpide et viable susceptible d’être approuvée au Cop 26 qui aura lieu au Royaume-Uni au mois de novembre prochain» a insisté l’Ambassadrice Emily Maltman. 

En outre, la Grande- Bretagne s’emploie à accompagner la RDC dans le domaine financier à travers différents programmes en cours d’exécution dans le pays, grâce aux financements des partenaires au développement. A ce sujet, l’ambassadrice britannique invite les institutions congolaises à déblayer le terrain concernant l’harmonisation du climat des affaires pour attirer les investisseurs illico presto.

C’est pourquoi, elle a évoqué une myriade de programmes qui s’exécutent conjointement par le truchement des organisations non gouvernementales et d’autres structures privées qui accordent des appuis techniques pour plus d’efficience dans le rendement à tous les niveaux de gestion de la res publica.

En sus du secteur environnemental et financier, la Grande-Bretagne et la RDC veulent s’entrelacer davantage dans d’autres secteurs, en l’occurrence la santé, l’éducation, et les nouvelles technologies de l’information et de la communication pour rationaliser, et rendre plus moderne la gestion des opérations multisectorielles en vue d’en obstruer l’opacité.

Cellule de communication du Ministère des Finances

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