Le présidium de Lamuka a, dans un communiqué de presse publié le mardi 4 mai dénoncé « l’amateurisme avéré dans la gestion de l’État » et rappelé que les restrictions des libertés qui accompagnent l’état de siège « sont un acte grave en ce qu’il suspend l’État de droit dans une partie du territoire frappée par le dispositif ». DK